Dopés, des haltérophiles envoyaient des sosies à leurs tests anti-dopage

Après trois ans d'enquête, l'agence mondiale antidopage (AMA) découvert que 18 haltérophiles avaient payé des sosies pour faire passer pour eux lors de contrôles.

30 octobre 2020 à 12h48 par Arnaud Joly

Pour frauder les contrôles antidopage, certains sportifs ont déjà eu recours à des produits masquant ou à la corruption… Mais une autre technique assez inattendue vient d’être découverte par l’agence mondiale antidopage (AMA).


Après trois ans d’enquête, l’institution internationale a révélé le 22 octobre dernier que 18 sportifs avaient présenté des sosies aux examens d’urine lors de contrôles anti-dopage.


Ces personnes qui ressemblaient aux athlètes n’avaient plus qu’à se soulager normalement. Leurs prélèvements étaient enregistrés sous les noms de vrais sportifs qui étaient, eux dopés.