Coronavirus un mauvais rêve pour les boites de nuit

Qui dit soirée antillaise, dit passage obligé par la case zouk. Mais avec le covid-19 et les nouvelles règles de distanciation sociale, les patrons de l'événementiel nocturne sont craintifs pour leur avenir.

1er juillet 2020 à 11h47 par Willian Bacoul

TROPIQUES FM
Crédit : Pixabay
Une chose est sûre, le zouk rapproche. En tant, normal, c’est un passage obligé, chaque soirée à son moment zouk où l’on peut tenter une approche vers la personne de notre choix par exemple. C’est un très bon moyen pour créer des liens ou les renforcer pour les plus amoureux. Mais avec la pandémie mondiale de coronavirus, il semble votre prochain zouk en soirée n’est pas prêt d’arriver.

Une absence de contact physique qui est un défi majeur pour les organisateurs de soirées dansantes ou les patrons de boîtes de nuit. Mais alors, comment faire revenir la clientèle tout en sachant que ce virus est très contagieux ?

Quel avenir pour le monde de la nuit ?

Il semble que la patience va être le mot d’ordre pour ces entrepreneurs de la nuit. L’absence de kolé-séré et autres pas endiablés sur la piste de danse des clubs va engendrer de nombreuses pertes d’argent. Jean Roch, patron d’une discothèque dans le 1er arrondissement de Paris a annoncé sur son Instagram que sa boîte mettait définitivement la clé sous la porte.

(function(w,d,s,l,i){w[l]=w[l]||[];w[l].push({'gtm.start': new Date().getTime(),event:'gtm.js'});var f=d.getElementsByTagName(s)[0], j=d.createElement(s),dl=l!='dataLayer'?'&l='+l:'';j.async=true;j.src= 'https://www.googletagmanager.com/gtm.js?id='+i+dl;f.parentNode.insertBefore(j,f); })(window,document,'script','dataLayer','GTM-NXCNWD3');